Mirage 2000

La place du Mirage 2000 dans l’armée de l’air française

Lorsque l’on évoque les avions emblématiques de l’armée de l’air française, le Mirage 2000 est sans conteste l’un des premiers noms à venir à l’esprit. Depuis son premier vol en 1978, cet avion de chasse est devenu une véritable icône de l’aéronautique française. Sa polyvalence, ses performances et son adaptabilité ont permis au Mirage 2000 de jouer un rôle majeur dans les opérations aériennes françaises pendant plusieurs décennies.

Historique et développement

Le Mirage 2000 naît du besoin de l’armée de l’air française de posséder un chasseur moderne pouvant remplacer les Mirage III et IV vieillissants. Imaginé par la société Dassault, cet avion a été conçu pour être aussi bien un intercepteur redoutable qu’un avion d’attaque au sol efficace.

Le prototype du Mirage 2000 a pris son envol pour la première fois le 10 mars 1978, marquant le début d’une longue carrière pour cet appareil. Rapidement, la version mono-place de chasse et la version bi-place de transformation sont mises en service. Au fil des années, diverses variantes du Mirage 2000 ont été développées pour répondre aux besoins spécifiques de la défense française et de ses alliés.

Capacités et polyvalence

Le Mirage 2000 est apprécié pour sa maniabilité et sa vitesse. Il peut atteindre Mach 2.2 et possède un rayon d’action considérable, lui permettant d’opérer sur de longues distances. Sa polyvalence est également l’une de ses forces principales. En effet, selon les versions, il peut remplir des missions d’interception, de supériorité aérienne, d’attaque au sol, ou encore de reconnaissance.

Ainsi, avec ses diverses munitions, comme le missile air-air MICA ou le missile de croisière Scalp, le Mirage 2000 a pu s’adapter à de nombreux théâtres d’opérations et faire face à des adversaires variés.

Opérations marquantes

Au cours de sa carrière, le Mirage 2000 a été déployé dans de nombreuses zones de conflit, démontrant à chaque fois sa valeur opérationnelle. Pendant la guerre du Golfe en 1991, il a joué un rôle crucial en assurant des missions de reconnaissance, d’attaque au sol et de combat aérien. En ex-Yougoslavie, au Kosovo, ou encore en Afghanistan, le Mirage 2000 a confirmé sa place de pilier de l’aviation de combat française.

Plus récemment, lors de l’opération Serval au Mali en 2013, le Mirage 2000 a encore démontré sa capacité d’adaptation, en effectuant des frappes chirurgicales contre des groupes armés, tout en soutenant les troupes au sol.

Modernisation et évolution

Face à l’évolution des menaces et des besoins opérationnels, le Mirage 2000 a connu plusieurs phases de modernisation. Celles-ci ont permis d’améliorer ses systèmes d’armes, ses capacités électroniques et ses moteurs. Le Mirage 2000D, par exemple, est une version optimisée pour l’attaque au sol avec une avionique améliorée.

Dassault et les partenaires industriels ont continuellement adapté l’avion pour lui permettre de rester compétitif face à des adversaires toujours plus sophistiqués.

Vers le retrait progressif

Avec l’arrivée du Rafale, avion de combat multirôle de dernière génération, le Mirage 2000 a commencé à voir son rôle diminuer au sein de l’armée de l’air française. Bien qu’il continue d’assurer certaines missions, notamment grâce à ses versions modernisées, son retrait progressif est en cours.

Cependant, la longévité opérationnelle du Mirage 2000, sa capacité à être modernisé et sa polyvalence font qu’il reste en service dans plusieurs pays, et certaines versions pourraient continuer à voler encore pendant de nombreuses années.

Le Mirage 2000 incarne à lui seul l’excellence de l’industrie aéronautique française. Sa place dans l’armée de l’air est indéniable et son histoire est intimement liée à celle des opérations aériennes de la France pendant presque un demi-siècle. Alors que le Rafale prend le relais, le Mirage 2000 reste un symbole fort de l’engagement et du savoir-faire français.

Mirage 2000

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Hornet

Les avions de l’US Navy

La marine américaine utilise une large gamme d’avions de chasse et d’aéronefs pour soutenir ses opérations dans le monde entier. L’un des principaux avions de combat utilisés par la marine américaine est le F/A-18 Hornet, un avion multirôle qui peut effectuer une variété de missions, y compris des combats aériens, des frappes air-sol et des missions de reconnaissance. Le F/A-18 Super Hornet, une version plus avancée du Hornet, est également utilisé par la marine et dispose d’un rayon d’action plus important, d’une avionique améliorée et d’une plus grande charge utile. Le F-35C Lightning II, un chasseur furtif conçu pour les opérations sur porte-avions, est en cours d’introduction pour remplacer les avions plus anciens tels que le F/A-18C Hornet. La marine exploite également divers autres aéronefs, notamment des avions de transport, des hélicoptères et des véhicules aériens sans pilote (UAV), qui jouent tous un rôle important dans le soutien des opérations navales dans le monde entier.

Les aéronefs de l’US Navy sont équipés d’une avionique, de systèmes d’armes et de capteurs avancés, ce qui leur permet d’opérer dans des environnements et des conditions très variés. Ils sont utilisés pour un large éventail de missions, notamment les opérations de combat, la reconnaissance, la recherche et le sauvetage, ainsi que le transport de personnel et de matériel. Les aéronefs de la marine sont également dotés de capacités de communication et de mise en réseau avancées, qui leur permettent de partager des informations essentielles avec d’autres aéronefs et des unités au sol. Les avions de chasse et les aéronefs de l’US Navy jouent un rôle essentiel dans le maintien de la sécurité mondiale et la projection de la puissance militaire dans le monde entier.

5 avions pour l’US Navy

L’US Navy a produit une grande variété d’avions de combat au fil des ans, les cinq derniers étant le F-35C Lightning II, l’E-2C Hawkeye, le T-6 Texan, le C-40B Clipper et le F/A-18C Hornet. Le F-35C est actuellement le favori de l’US Navy pour les rôles de combat, en plus du F-18E. Il s’agit d’un avion de combat furtif à long rayon d’action, conçu et construit explicitement pour la marine. Le Super Hornet est également plus récent que de nombreux avions de combat de l’armée de l’air, mais sa disponibilité est inférieure à celle des avions de l’armée de l’air.

F-35C Lightning II

Le F-35C Lightning II est un avion de combat de pointe conçu pour la marine américaine. Il s’agit de la variante embarquée du F-35 Joint Strike Fighter, une famille d’avions furtifs avancés développés par Lockheed Martin. Le F-35C est conçu pour être un avion polyvalent capable d’effectuer un large éventail de missions, notamment des missions de supériorité aérienne, de suppression de la défense aérienne et de frappe. L’avion est équipé d’une avionique avancée et d’une technologie furtive qui le rend difficile à détecter par les systèmes radar ennemis. Il est également doté de systèmes d’armes avancés, notamment des missiles air-air, des missiles air-sol et des bombes à guidage de précision.

F-35

Le F-35C est capable de voler à des vitesses supersoniques et a un rayon d’action de plus de 1 200 milles nautiques. Ses systèmes de radar et de capteurs avancés lui permettent de recueillir et de partager des informations essentielles avec d’autres aéronefs et unités au sol. Les capacités avancées du F-35C en font un atout essentiel pour la marine américaine et lui confèrent un avantage tactique significatif dans la guerre moderne. Il est appelé à jouer un rôle essentiel dans l’avenir de l’aviation navale et constituera un élément vital du dispositif stratégique mondial de l’armée américaine pendant de nombreuses années.

E-2C Hawkeye

L’E-2C Hawkeye est un avion de détection précoce aéroporté (AEW) basé sur un porte-avions, conçu et fabriqué par Northrop Grumman. Il est en service dans la marine américaine depuis les années 1960 et est encore utilisé aujourd’hui. L’avion est conçu pour assurer l’alerte précoce et le contrôle des forces navales, en détectant les avions et les missiles entrants à longue distance et en fournissant une connaissance de la situation à la flotte. L’E-2C est équipé de systèmes radar et de communication avancés, ce qui lui permet de suivre plusieurs cibles simultanément et de fournir des informations en temps réel aux commandants navals.

L’E-2C se distingue par son dôme radar rotatif monté sur le dessus du fuselage, qui assure une couverture à 360 degrés. Les ailes de l’avion peuvent être repliées pour être stockées sur les porte-avions, ce qui facilite son transport et son utilisation sur le pont exigu d’un porte-avions. L’E-2C est également équipé de moteurs puissants, ce qui lui permet de fonctionner dans des conditions météorologiques très variées et d’accomplir sa mission à longue distance. Ses capacités avancées en font un atout vital pour la marine américaine, car il fournit une connaissance critique de la situation et une alerte précoce pour protéger les forces navales contre les menaces potentielles.

T-6 Texan

Le T-6 Texan est un avion d’entraînement monomoteur biplace conçu et produit par la société North American Aviation. Il est en service depuis les années 1930 et a été utilisé par plusieurs forces aériennes dans le monde, dont l’United States Air Force et l’United States Navy. Le T-6 Texan est un avion polyvalent qui peut être utilisé pour diverses missions d’entraînement, notamment l’entraînement au vol primaire, l’entraînement à la voltige et l’entraînement au maniement des armes. Sa conception robuste et ses performances fiables en font un choix populaire pour l’entraînement au vol militaire depuis de nombreuses années.

T-6T-6

Le T-6 Texan se distingue par son gros moteur radial, son cockpit ouvert et ses lignes classiques. Sa conception offre une excellente visibilité à l’instructeur et à l’élève pilote, ce qui permet une communication et une formation efficaces. L’avion est équipé d’une avionique moderne, notamment d’un système de navigation GPS et d’un cockpit en verre avancé, ce qui en fait une plate-forme d’entraînement capable de répondre aux besoins des forces aériennes modernes. Sa fiabilité, sa durabilité et sa polyvalence en font un atout précieux pour la formation au pilotage militaire, et il devrait rester en service pendant de nombreuses années.

C-40B Clipper

Le C-40B Clipper est un avion de transport militaire basé sur le Boeing 737-700. Il est exploité par l’armée de l’air américaine et est utilisé pour le transport de personnel et de marchandises. L’avion a un rayon d’action de plus de 3 000 miles nautiques et peut transporter jusqu’à 121 passagers ou 8 palettes de fret. Il est équipé d’une avionique moderne, notamment d’un système de navigation GPS, et peut opérer dans toutes les conditions météorologiques. Le C-40B Clipper fournit un soutien essentiel en matière de transport à l’armée américaine, permettant un déploiement rapide du personnel et de l’équipement dans le monde entier.

Le C-40B Clipper est également utilisé pour le transport de fonctionnaires et de dignitaires, offrant un moyen de transport sûr et confortable. Il est équipé de systèmes de communication et de sécurité avancés, permettant une communication sûre et fiable pendant le vol. L’avion dispose d’une série de commodités, notamment une cuisine et des toilettes, ce qui rend les voyages longue distance plus confortables pour les passagers. Le C-40B Clipper est un atout essentiel pour l’armée de l’air américaine, car il offre une capacité de transport polyvalente et fiable qui soutient les opérations militaires et les missions diplomatiques dans le monde entier.

F/A-18C Hornet

Le F/A-18C Hornet est un avion de chasse basé sur un porte-avions, conçu et fabriqué par McDonnell Douglas, qui fait aujourd’hui partie de Boeing. Il est en service dans la marine américaine depuis les années 1980 et est encore utilisé aujourd’hui, bien qu’il soit progressivement abandonné au profit d’avions plus récents tels que le F/A-18 Super Hornet et le F-35C Lightning II. Le F/A-18C Hornet est un avion multirôle capable de mener des combats air-air et air-sol, ainsi que des missions de reconnaissance et de guerre électronique.

Hornet

Le F/A-18C Hornet est un avion polyvalent et fiable qui a fait ses preuves dans un large éventail de situations de combat. Il est équipé d’une avionique et de systèmes d’armes avancés, notamment de missiles air-air, de missiles air-sol et de bombes à guidage de précision. Il est doté d’ailes repliables et d’un empennage, ce qui lui permet d’opérer sur le pont exigu d’un porte-avions. Le F/A-18C Hornet a été utilisé dans de nombreux conflits, dont l’opération Tempête du désert, l’opération Liberté immuable et l’opération Liberté irakienne, et a été loué pour ses performances au combat.

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Stormbreaker – une bombe pour tous les temps

Si un groupe avancé de chars, de porte-avions d’infanterie et de systèmes d’artillerie ennemis utilisait une forte tempête de sable dans le désert pour dissimuler leur attaque, ils pourraient être presque invisibles aux caméras de surveillance électro-optiques, à certains capteurs satellites et à la détection laser. Peut-être que la colonne mécanisée de véhicules blindés s’arrête une fois à portée d’attaque et éteint leurs moteurs pour réduire toute signature thermique, évitant ainsi le ciblage infrarouge? Peut-être sont-ils accompagnés d’une artillerie de précision à longue portée ou même d’un appui aérien rapproché, ce qui rend tout type de contre-attaque rapprochée beaucoup trop dommageable ou du moins moins susceptible d’aboutir à une destruction réussie de la force ennemie.

Comment la force ennemie pourrait-elle être attaquée? Pourraient-ils être arrêtés sans faire face à d’énormes pertes, risques et perspectives de succès incertaines? C’est un scénario sur lequel les développeurs d’armes du Pentagone travaillent depuis des années.

Désormais, l’Armée de l’Air pouvait attaquer avec une nouvelle arme à guidage de précision à largage aérien à longue portée capable de changer de cap vers des cibles en mouvement à des distances de sécurité allant jusqu’à quarante miles. L’Air Force multi-mode Stormbreaker est maintenant opérationnel sur les chasseurs à réaction F-15E comme première étape vers l’armement des F / A-18 et F-35.

L’Air Force et Raytheon ont annoncé que l’arme multimode Stormbreaker est prête pour la guerre sur un F-15E.

Le statut opérationnel du Stormbreaker fait suite à des années de développement, qui ont spécifiquement inclus des exercices de tir réel avec une gamme de plates-formes, pour inclure les F-15E. Il y a plusieurs années, un F-15 Eagle de l’Air Force a détruit un char T-72 modèle de substitution en mouvement lors d’un test de tir réel du nouveau Stormbreaker à White Sands Missile Range, NM vitesses quand il a été détruit par le Stormbreaker pendant le test.

L’arme est connue pour incorporer une poignée d’innovations censées introduire de nouvelles dimensions tactiques pour le combat, telles que l’augmentation des attaques à distance, le ciblage multimode et la guerre «activée par le réseau». L’innovation la plus souvent citée dans le Stormbreaker, anciennement appelé Stormbreaker, est son chercheur «tri-mode», une intégration à petit facteur de forme de trois types différents de technologie de guidage de précision tissée en une seule arme. Ces trois technologies de guidage sont le guidage par ondes millimétriques, la détection infrarouge et le ciblage laser semi-actif.

Stormbreaker est conçu pour ne peser que 208 livres, un poids plus léger que la plupart des autres bombes à largage aérien, de sorte que huit d’entre elles peuvent tenir à l’intérieur d’un F-35 Joint Strike Fighter. La petite taille de StormBreaker permet également à moins d’avions d’aborder le même nombre de cibles par rapport aux armes plus grosses qui nécessitent plusieurs jets. Il peut également parcourir plus de 40 kilomètres pour frapper des cibles mobiles, ce qui réduit le temps que les équipages passent à opérer dans des zones hostiles et à haut risque.

Environ 105 livres du Stormbreaker est une ogive explosive qui comprend une capacité de «souffle-frag» et une technologie de «jet de forme» conçue pour percer l’armure ennemie, ont expliqué les développeurs d’armes de Raytheon. Le Stormbreaker a également la capacité de classer les cibles, ce qui signifie qu’il pourrait par exemple être programmé pour ne toucher que les chars d’un convoi par opposition à d’autres véhicules en mouvement. L’arme peut classer les chars, les bateaux ou les cibles à roues.

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Défaut ou erreur de pilotage?

Un avion de chasse égyptien MiG-29M s’est écrasé tout au long des instructions de routine de l’armée le 5 décembre 2019. Le pilote a survécu après s’être correctement éjecté de l’avion. L’avion de chasse mma était sur un vol de coaching au sud-ouest d’Alexandrie au cas où il serait impacté par un « dysfonctionnement soudain » qui aurait forcé le pilote à s’éjecter. La cause de l’échec de fonctionner correctement est explorée par un comité pratique, a expliqué le porte-parole des services militaires égyptiens Tamer Al-Rifai dans une simple affirmation. Des professionnels de la Fédération de Russie, le lieu de fabrication de l’avion, doivent être envoyés pour aider à la recherche. Un autre MiG-29 de la Force aérienne égyptienne s’est écrasé en décembre 2018, ne faisant aucune victime. En octobre 2018, un avion de chasse MiG-29 mma s’est écrasé dans une forêt à proximité de Moscou, en Russie, lors d’une mission d’éducation. Chaque pilote d’avion s’est éjecté avec le temps, mais le problème n’est pas connu. L’avion était un modèle expérimental qui n’est peut-être pas encore en service. Un avion de chasse MiG-29 mma s’est écrasé dans un bois à proximité de Moscou, en Russie, tout au long d’un objectif d’instruction. Chaque pilote s’est éjecté au fil du temps, mais son problème n’est pas identifié. L’avion s’est éloigné du terminal de l’aéroport Joukovski (ZIA), au sud-est de Moscou. En plus des procédures chirurgicales commerciales, le terminal de l’aéroport abrite également l’institution d’enquête de vol Gromov Airline, à laquelle appartenait le combattant mma. L’avion était une version expérimentale qui n’est certainement pas en service, comme l’a souligné la société de rapports européenne RIA. Il s’est écrasé à proximité de la ville de Dmitrovskoye dans une zone peu peuplée, sans avoir causé de dégâts. Les deux pilotes ont réussi à s’éjecter, comme l’a souligné une source au sein des forces de l’ordre proposées par la société d’information européenne TASS. Les services professionnels d’urgence sont sur la page Web de l’accident. Une recherche a été ouverte.Premièrement produit comme étant un chasseur de brillance du flux d’air tout au long de l’ère soviétique par ce que l’on appelait Mikoyan et Gurevich Design and Style Bureau, le MiG-29 est un chasseur à deux moteurs exploité par 23 forces atmosphériques autour le globe, soit dans sa variante d’origine, soit dans sa mise à niveau multirôle (MiG-29SMT). Une faute spécialisée pourrait être à l’origine de la collision de tout jet MiG-29 européen à l’intérieur des mers méditerranéennes. Cette information a été donnée par un représentant du ministère russe du Bouclier vers le 14 octobre. Sur la base des examens préliminaires, l’événement s’est produit une fois que le chasseur à réaction MiG-29 à deux moteurs a effectué son voyage en avion et s’apprêtait à atterrir à propos du fournisseur d’avions de l’amiral Kuznetsov. L’aviateur a pu éjecter en toute sécurité et en toute sécurité dans le cockpit. Source: vol en avion de chasse

Pourquoi faire un bapteme en avion de chasse

où et comment prendre son envol dans un chasseur? Vous recherchez des sentiments assez forts pour être passionné d’aviation? Le combattant répondra très facilement à ces deux exigences pour vous aider à rester une minute de pure adrénaline complètement inoubliable! Voici comment vous pouvez effectuer un vol en avion de chasse en France dans l’avion le plus merveilleux dont les performances sont à couper le souffle. S’ils doivent donner ou peut-être s’amuser, le premier vol de l’avion de chasse reste gravé dans la mémoire de manière permanente. L’invention de votre voiture aérienne, du cockpit, l’audio déployé à l’allumage de vos moteurs, les toutes premières sensations procurées à l’achat-loin et bien d’autres. Ce sont tous des facteurs qui peuvent vous inciter, comme passionnés d’aéronautique, à faire voyager un avion par un chasseur. C’est à bord d’un Fouga CM-170 Magister que vous aurez à nouveau besoin d’une place assise à l’arrière, à la manière d’un co-aviateur. Construit à partir de l’Aerospatiale-Potez dans les années 1950, le Fouga Magister s’est concentré sur la formation d’aviateurs militaires. Au total, un peu plus de 1000 clones ont été fabriqués. Il est rapidement connu pour son empennage à papillons. C’est un avion à réaction qui dessert la Patrouille de France depuis 24 ans de 1956 à 1980. Ses caractéristiques ont déjà été largement recommandées par les pilotes de voltige et plusieurs patrouilles en ont fait leur produit préféré. Après avoir adoré le Fouga Magister venant de tous les points de vue, vous pouvez vous attendre à rester dans le cockpit de la position réservée au copilote, ce qui est certainement l’expression normale de celui qui alimente l’aviateur. Equipé d’une combinaison avant de rouler, vous serez déjà plongé dans cet univers. Vous finirez attaché avec le cockpit va se fermer. L’aviateur démarrera les 2 moteurs et enlèvera le Fouga Magister! Vous atteindrez rapidement un taux remarquable de 300 km / adrénaline et utiliserez votre système complet de haut en bas! Il peut exécuter de belles acrobaties si le conducteur est disposé à vous mettre à la vue! Mais je me suis vu à la place de Maverick survoler le paysage pendant des centaines d’heures. En bon fan de « Top Gun », c’est un peu kitsch, je le sais. Cette énergie qui pousse quiconque au fond (raison de moi la phrase), mais c’est tellement précis! Le partage continu avec tous les pilotes, adorable en outre, entendre chaque attente et chaque sensation (ce qui s’avère être vraiment essentiel, car chaque fonction comporte ses propres restrictions, j’en suis consciente, c’est pourquoi je visite- En haut) Le document de l’Albatros vers la mer , le coeur reste serré, la passion est immense, nous voyageons au-dessus de la magnifique campagne vue de précédemment. Les randonneurs du dimanche font d’énormes symptômes juste en bas, non loin de nous … Nous les renvoyons tous avec un battement d’ailes. C’est maladroit comme souvenir, mais j’aime bien considérer les avions qui passent et j’espère aussi qu’ils pourront me voir aussi! Nous voyageons sur les calanques, le panorama change, l’eau listée ci-dessous, magnifique! Nous avons maintenant le sentiment que les gens ont généralement terminé cela, nous ne faisons qu’union avec la compagnie aérienne. L’aviateur explique ensuite comment s’occuper de la prise en charge, nous montre une manœuvre, un converti restant avec un virage approprié et que j’acquiers ainsi un temps inoubliable, intense et chargé, je voyage! Puis il clarifie à mon avis la meilleure façon de faire « un tonneau », fonctionne (non sans être inquiet), on descend tout droit, là-bas, il se force les mains et les poignets dans le flux d’air et me jette un « tu découvres que c’est toi des disques durs! Ah oui, inexplicable étant une sensation, tout simplement incroyable! La souplesse d’expression assume tout ce qui signifie! Et après cela, 8 minutes s’affichent en observant des acrobaties naturelles (et je peux donc jurer que 8 minutes, c’est long !! !!), où j’ai encaissé 6G, solide la dame! Écrasé dans mon fauteuil éjectable, le protège-tête bien pressé autour de la tête, le bras gauche pèse plusieurs dizaines de kilos, le plus grand rêve est exact, je profite au maximum de chaque flambée épidémique. Le son dans le réacteur qui se lève à chaque fois que le G apparaît, la vue des mers que nous ressentons vraiment pour pouvoir être contacté, l’expérience est innommable, tout ce que je peux dire, c’est la pratiquer, c est grand! ! Puis, un retour tranquille pour récupérer de ses sensations, une obtention douce et la plus merveilleuse une demi-heure de toute ma vie cette conclusion … une demi-heure de pure adrénaline et de bonheur! Le pied initial sur terre est tel que le premier type qui a marché dans la lune … étrange! Sur une obsession: recommencez! Pour une très bonne semaine complète, j’avais la tête dans les nuages ​​(et je n’exagère pas), mes pensées étaient à 500 km / h et 6G! Quel a été le verdict final? Le verdict ultime est simple: dès que je peux, je recommence! Petit facteur à intégrer, un grand nombre grâce à tous ceux qui, sur place, accomplissent une tâche incroyable, qui consiste à rendre les rêves réalisables! Si vous deviez avoir à accomplir. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de ce vol en avion de chasse.

F-16 ou Rafale: quel avion de chasse pour la Belgique ?

L’offre de dernière minute formulée, le 6 septembre, par la ministre française de la défense, Florence Parly, pour le remplacement des avions de chasse de la défense belge – un marché de 3,6 milliards d’euros – provoque des remous au sein du gouvernement de Charles Michel. La majorité de ce dernier se divise entre les partisans du F-35 de l’américain Lockheed Martin et ceux du Rafale de Dassault. Un comité ministériel convoqué vendredi 6 octobre a reporté l’examen du dossier. Deux jours plus tôt, de vifs échanges avaient eu lieu entre le ministre de la défense, Steven Vandeput (nationaliste flamand), et des députés qui l’interrogeaient sur son refus de négocier avec Paris. Selon le ministre, le fait que la France n’ait pas remis d’offre véritable, avec un prix et des réponses détaillées à un long questionnaire, exclut de fait le Rafale. Disant s’appuyer sur deux avis juridiques, M. Vandeput estime que poursuivre une discussion avec Paris reviendrait à commettre une infraction aux règles des marchés publics qui exposerait son gouvernement à des sanctions. Un rapport produit récemment par les autorités françaises dément cette analyse. M. Vandeput a aussi été contredit, vendredi, par le vice-premier ministre et ministre des affaires étrangères Didier Reynders (libéral francophone). Il convient de « parler à tout le monde », a-t-il commenté. Un avis partagé par d’autres responsables. D’autant que Mme Parly évoquait « un partenariat stratégique global », avec notamment une participation belge à un projet franco-allemand d’avion de chasse. Paris avait, en fait, remis une lettre à M. Vandeput, à la veille de la clôture de l’offre d’Etat à Etat formulée par la Belgique, jugeant sans doute que les 164 questions posées aux candidats traduisaient une préférence trop marquée pour un appareil américain compatible avec toutes les normes de l’OTAN. Si le consortium constitué autour du britannique BAE Systems a maintenu la candidature de son Eurofighter, le suédois Saab et l’américain Boeing ont, eux, décidé de retirer de la course, estimant, semble-t-il, que les jeux étaient faits. Du côté de la défense belge, on peine à cacher une préférence pour le F-35, coûteux mais jugé plus fiable pour succéder aux 54 F-16 qui devront être remplacés à partir de 2023. « J’en ai marre », a déclaré la semaine dernière M. Vandeput face à des députés qui s’interrogent sur le caractère réellement contraignant de son appel d’offres. Le ministre devra répondre à ceux qui, au sein même de la majorité, jugent l’offre française plus intéressante. Retrouvez les enjeux de la vente de Rafale sur le site de news de vol en avion de chasse.

La Russie recevra son avion de chasse Su-57 en 2019

Les forces aérospatiales russes devraient recevoir le premier lot des avions de chasse Su-57 de la cinquième génération en 2019, a déclaré mercredi le vice-ministre de la Défense, Youri Borissov. Le ministère russe de la Défense prévoit de signer un contrat d’acquisition en 2018 avec la Obyedinyonnaya Aviastroitelnaya Korporatsiya (Compagnie aéronautique unifiée) et ils sont actuellement en train de travailler sur l’accord, a précisé M. Borissov lors d’une conférence de presse. L’avion de chasse Su-57, autrefois dénommé T-50, a été conçu par la société Sukhoi sous la direction de la Compagnie aéronautique unifiée. Appareil monoplace et bimoteur, il bénéficie de la supercroisière, de la furtivité et de la super-manoeuvrabilité. Le Su-57 a fait son premier vol en 2010 et aura achevé la première phase de ses essais fin 2017. On connaît seulement quelques spécifications et mensurations, comme son poids, de l’ordre de 30 t en ordre de combat, une soute de 4,80 mde long au minimum, le fait qu’il sera biréacteur, monoplace pour la version russe, biplace pour la version indienne4, équipé d’un radar à antenne active Sh121 conçu par Tikhomirov NIIP et de radars bande L dans les ailes. Les versions russes et indiennes présenteront des différences notables (envergure, équipements électroniques…), l’Inde souhaitant un appareil biplace et la Russie un appareil monoplace. Il semble que le chasseur T-50 créé de série, a reçu la désignation officielle Su-57. Ce nouvel appareil est une fusion d’un appareil de frappe et d’un chasseur, il est équipé, selon son constructeur, d’un avionique dernier cri avec une fonction « pilote électronique » Il possède également un radar d’avenir, ainsi qu’un important camouflage face aux radars optiques et infrarouges (grâce aux matériaux composites). Cela permet de dissimuler l’appareil, laissant le pilote se concentrer uniquement sur l’accomplissement de missions tactiques.

Les avions de chasse français n’iront pas en Libye

Les avions de chasse de l’armée française ne pourront s’engager sur de nouveaux théâtres, notamment en Libye, que s’ils réduisent la voilure ailleurs, a averti mardi le chef d’état-major de l’armée de l’Air française. Besoins d' »ajustements ». « On ne pourra pas être à la fois au Sahel, au Levant et en Libye », a déclaré le général André Lanata devant l’Association des journalistes de défense (AJD). « L’armée de l’Air (française) est engagée aux limites de ses capacités », a-t-il souligné, avec des missions en Syrie et en Irak. Elle pourrait « sûrement faire des missions de reconnaissance, de frappes » en Libye mais « cela nécessiterait des arbitrages entre les théâtres d’opérations », a-t-il poursuivi. Il faudrait procéder sinon à « de nouveaux ajustements en termes de personnel, de maintien en condition opérationnelle et de formats de la flotte », c’est-à-dire concrètement augmenter les moyens de l’armée de l’Air, a-t-il dit. Pour l’heure, « il n’y a pas de décision politique pour intervenir en Libye », a toutefois souligné le chef d’état-major de l’armée de l’Air. Pour l’instant, des « missions de reconnaissance ». « La seule chose que les armées françaises ont faite ce sont des missions de reconnaissance pour documenter ce théâtre comme il apparaît naturel de le faire quand une zone d’instabilité se manifeste », a-t-il rappelé. Une vingtaine d’avions de chasse sont actuellement engagés sur des théâtres d’opérations extérieurs, sur les 180 que compte la France, a précisé le général. S’y ajoutent ceux mobilisés pour la défense du territoire national, la dissuasion nucléaire et différentes missions, dont la formation des pilotes égyptiens sur chasseurs Rafale. Réductions de postes suspendues. L’armée de l’Air a subi de profonds bouleversements ces dernières années, avec la suppression de 18.000 postes d’aviateurs depuis 2008 et la réduction de 40% du format de l’avion de chasse, a par ailleurs rappelé le général. Le président François Hollande a toutefois suspendu les réductions massives d’effectifs engagées dans les armées après les attentats de Paris en 2015.

Avion de chasse ou avion civil ?

Envie d’avoir votre propre jet privé, et votre avion de chasse privé ? Les deux en un, c’est maintenant possible. Pour la modique somme de 5 Mio de dollars. Le projet est lancé par un ancien pilote de l’armée de l’air, Sean Gilette. Le projet s’appelle Saker-1, qui est un avion deux places capables de voler 1600 miles à Mach 0.95. C’est donc une vitesse de jumbo pour un petit avion qui ressemble comme deux gouttes d’eaux à un F-15 un peu pacifié. L’altitude max devrait être de 45000 pieds, avec une pressurisation de la cabine à 8000 pieds.

Sean Gilette lance cet avion en ciblant à la fois le marché civil et le marché militaire. La version civile devrait couter autour de 5Mio de dollars, alors que la version militaire sera équipée de sièges éjectables, et devrait dépasser Mach 1.1. La start-up Saker Aircraft est actuellement en processus d’obtention des sacro saints certification de la FAA et de l’EASA afin de pouvoir lancer le projet de manière concrète. Et si tout se passe comme prévu, la certification devrait aboutir en 2017/18 avec des premières livraisons en 2019.

Avion de chasse: F-16

Le F-16 est un avion de chasse de suprématie aérienne et d’attaque. En service auprès de nombreuses forces aériennes, comme l’USAF, le F-16 dispose d’un système avancé HUDWACS (Head-up and Weapon Aiming Computer Systems – système informatisé, viseur tête haute et pointage d’arme) de Marconi. Il existe cinq fonctions pour l’attaque au sol et quatre pour le combat aérien. Dans ce denier domaine la fonction snapshoot permet au pilote de viser des cibles en traçant, grâce à un ordinateur, une ligne continue d’impact sur le HUD. La modalité LCOS suit la cible préalablement choisie. La modalité de combat rapproché combine le snapshoot et la LCOS. Enfin il existe une modalité missiles air-air. Parmi les variantes du Fighting Falcon, il faut mentionner le F-16B et le F-16D, tous deux biplaces, et le F-16C doté d’une avionique améliorée et de la capacité de monter différents moteurs. Les F-16 ont été employés en combat au Liban par l’aviation israelienne, dans la guerre du Golfe, dans les Balkans et en Irak depuis 2003. Le F-16 est propulsé par un turboréacteur GE de 13150Kg de poussée.Le F-16 atteint 2142Kmh en altitude avec un plafond moyen opérationnel de 15240m et un rayon d’action de combat de 925Km. Solide et adaptable, le F-16 est un avion de chasse très populaire qui prit son envol pour la première fois en février 1974 et qui continue encore aujourd’hui de conquérir des marchés à l’exportation.

500ème vol test pour le SU-35

Le 500ème vol test du SU-35 a eu lieu. L’avion a été piloté par Sergueï Bogdan qui avait eu en Février 2008 la chance de faire décoller l’avion pour la première fois. Le SU-35 est un avion de chasse multifonctions russe qui doit rivaliser avec les avions de 4ème générations du type Rafale, EF2000 et autres avions de chasse modernisés comme le F-15. Les tests ont porté sur la manœuvrabilité et la stabilité de l’avion, notamment à grande vitesse. Le SU-35 atteint 2400 kmh à 18000 pieds, son plafond opérationnel, et bénéficie d’un système de détection de cibles air-air de plus de 400km. Cette distance est nettement plus grande que celle de ses rivaux ce qui en fait un avion potentiellement redoutable. Néanmoins, le SU-35 se verrait en deçà des possibilités des avions américains JSF et F-22, qui ont la chance d’être furtifs. Le programme russe doit fournir 48 avions au ministère de la défense russe d’ici à 2015.

Avion de légende: Hawker Hunter

Le Hawker Hunter est un avion britannique mythique. Développé par Hawker Aircraft, le Hawker Hunter a vu le jour en 1951, et témoigne d’une longévité exceptionnelle puisque les derniers Hawker Hunter ont été mis hors service dans les années 1990 uniquement. Cette longue vie est due aux performances exceptionnelles de cet avion de chasse qui fut exporté dans 19 pays. Le design du Hawker Hunter reste simple et efficace, avec deux entrées d’air dans les ailes pour faire de la place au canon et radar dans le nez de l’avion. La version d’entrainement, le Hawker Hunter T7 permet au pilote et copilote d’être assis l’un à côté de l’autre, plutôt que l’un derrière l’autre.

Le premier Hawker Hunter entra dans la Royal Air Force en 1951. Le premier design montra vite ses limites, notamment ses réservoirs, trop petits, ne lui permettant pas de rester longtemps en vol. Un autre défaut provenait des munitions éjectées par les canons, qui avaient tendances à endommager le fuselage au moment de l’éjection. Pour accentuer encore les défauts, la verrière avait tendance à s’embuer rapidement, voir à se glacer lorsque l’avion effectuait une descente rapide. Rien ne prédestinait donc cet avion à une telle longévité, sauf que son pilotage était un régal pour les pilotes. Très facile et répondant, le Hawker Hunter affichait de très belles capacités en vol.

Le design du Hawker Hunter fût modifié pour pallier à tous ces défauts, ce qui permit à l’avion de conquérir les cieux et de se créer une réelle histoire d’amour avec la majorité des pilotes qui ont eu la chance de le piloter. Le Hunter est subsonique, atteignant une vitesse de Mach 0.94, sauf en piqué où il peut devenir supersonique. Le Hawker Hunter reste un avion très agréable à piloter. Même si la très grande majorité des Hawker Hunter sont hors service, il reste quelques exemplaires entre des mains privées qui continuent à faire voler cet avion légendaire, notamment en Grande-Bretagne, Afrique du Sud et en Suisse.

Quand la Russie fait peur au Japon

Le 9 février, le Japon s’est mis en état d’alerte. Pas parce qu’un énième tremblement de terre menaçait les populations, mais parce que deux bombardiers stratégiques Russe accompagnés d’avions de reconnaissance et d’interception se dirigeaient dangereusement vers l’espace aérien nippon. Ceci a provoqué la mise en alerte et le décollage en urgence de F-15 et F-16 japonais qui partirent à la rencontre des bombardiers et avions de chasse russe.

Cet épisode a sans doute rappelé à de nombreux officiels le souvenir pénible du 747 abattu par l’aviation Russe et rappeler qu’en la matière, les Russes ne plaisantent jamais. D’où la crainte nippone lorsqu’ils ont vu apparaître sur les écrans ces 5 appareils, dont les bombardiers stratégiques. En réponse, les officiels russes ont rappelés qu’ils volaient au dessus des eaux internationales et qu’ils n’étaient en violation d’aucune règlementation.

Les Russes ont repris des manœuvres stratégiques aériennes en 2007 sur cette partie du monde. Ce qui crée parfois des tensions car certains petits territoires sont encore l’objet de disputes. Le plus terrifiant est qu’aujourd’hui, la Russie est prête à faire peur à son voisin japonais, sans raison apparente. Et ceci témoigne d’un état d’esprit très particulier, à quelques mois de l’élection présidentielle qui verra en toute probabilité Vladimir Poutine reprendre le trône.

En planeur jusque 27Km d’altitude

Planer jusque 90,000 pieds – est-ce possible ? C’est le pari d’Einar Enevoldson qui détient le record de vol en altitude en planeur – à un peu plus de 50,700 pieds, soit 15.5Km d’altitude – c’est 5km de plus que l’altitude traditionnelle de vol d’un avion de ligne. Le projet est dénommé Perlan 2 et doit permettre la construction d’un planeur tout à fait unique, avec un cockpit de vaisseau spatial permettant au pilote de grimper dans la stratosphère en toute sécurité. L’altitude ciblée est 27.4km. A titre d’exemple, le record détenu par le Lockheed U2 est de 22.4km. Toute la difficulté du projet est de pouvoir continuer à monter. Einar Enevoldson estime qu’il est possible d’utiliser les ondes stratosphériques des montagnes. Comme pour un parapente, le vent et l’air chaud sont plus fort alors qu’ils tapent sur les montagnes permettant à l’engin volant d’aller encore plus haut. C’est ce qui avait permit à l’époque d’atteindre 15km d’altitude en planeur. En grimpant dans la stratosphère, ces ondes se poursuivent, et parce que le planeur est léger, elles devraient permettre de continuer l’ascension jusqu’à 90,000 pieds. Lubie ou réalité, nous le saurons au printemps 2013, date d’envol d’Einar Enevoldson.

Jaguar: excellent avion de chasse

Le Jaguar est un avion de chasse développé par BAC (devenu BAE) et Breguet – regroupé sous le nom de SEPECAT. Le premier exemplaire français à voler, en septembre 1968, fut le biplace modèle E (dont 40 exemplaires furent commandés par l’aviation française), suivi en mars 1969 du monoplace Jaguar A, avion de chasse d’appui tactique. Les livraisons des exemplaires du modèle E commencèrent en mai 1972, suivies en 1973 par l’arrivée de 160 Jaguar A.

Les versions britanniques comme le Jaguar S (d’attaque) et le Jaguar B (d’entrainement), volèrent respectivement le 12 octobre 1969 et le 30 août 1971 et furent livrés à la Royal Air Force sous le nom de Jaguar GR. Mk1, Jaguar T.Mk.2/2A. Le Jaguar International, qui a volé la première fois en août 1976 était destiné au marché étranger. Parmi les acheteurs : Equateur, Nigéria, Oman, Inde. Un projet français a été présenté pour produire une version embarquée porte-avions du Jaguar, mais le Super Etendard fut choisi à sa place.

Conçu comme un avion de chasse tactique, le Jaguar a été employé au combat pendant la Guerre du Golf en 1991 et à prouvé sa valeur dans les attaques de précision. Son habitacle monoplace ne nécessite pas de visibilité à 360° d’un avion de chasse de supériorité aérienne. A l’intérieur, l’habitacle est de conception ancienne, car il a été élaboré bien avant le développement des viseurs numériques.

Le Jaguar dispose d’un nez caractéristique, en forme de scalpel, qui contient le télémètre laser et le chercheur de cibles marquées. Le Jaguar peut porter un armement de 8 bombes de 455Kg. Il dispose aussi d’un canon lourd de 30mm installé de chaque côté du fuselage, au dessous des prises d’air du moteur. Le Jaguar est équipé de deux turboréacteurs de 3313Kg de poussée, propulsant le Jaguar jusqu’à 1593kmh. Le Jaguar dispose d’un rayon d’action au combat de 560km.