Comment démilitariser un avion de combat ?

Comment démilitariser un avion de combat ?

Découvrez les étapes clés pour démilitariser un avion de chasse, transformant le pouvoir aérien en une expérience de vol civile passionnante.

Comment démilitariser un avion de combat ?

La démilitarisation d’un avion de chasse est un processus fascinant qui transforme une machine de guerre en un engin pouvant être utilisé dans des contextes civils ou à des fins non combattantes. Ce n’est pas seulement une question de retirer les armes ; c’est une transformation complète, souvent complexe, qui nécessite une expertise technique approfondie, une compréhension des réglementations aéronautiques et une approche méticuleuse pour assurer la sécurité et la conformité.

Comprendre l’avion de chasse

Avant de plonger dans le processus de démilitarisation, il est essentiel de comprendre ce qui fait d’un avion un « avion de chasse« . Typiquement, ces avions sont équipés pour le combat, avec des caractéristiques telles que des systèmes d’armes sophistiqués, une avionique avancée pour les missions de combat, des capacités de vol à haute vitesse (dépassant souvent Mach 2, soit plus de 2 000 km/h), et des structures renforcées pour supporter les rigueurs du combat aérien.

Etape 1 : désarmement

Le premier pas vers la démilitarisation est le désarmement. Cela implique le retrait de tous les systèmes d’armement, y compris les canons, les missiles, les bombes, et les systèmes associés comme les lanceurs et les ciblages avancés. Ce processus doit être réalisé avec précaution pour éviter tout risque lié aux matériaux explosifs ou dangereux.

Etape 2 : modification de l’avionique

L’avionique militaire, conçue pour le combat, doit être remplacée ou modifiée pour s’adapter à un usage civil. Cela inclut la suppression ou la désactivation des systèmes de ciblage, de navigation tactique, et de contre-mesures électroniques. À la place, l’avion peut être équipé d’avionique standard pour l’aviation civile, garantissant la conformité avec les réglementations de l’aviation civile.

Etape 3 : reconfiguration structurelle

Les avions de chasse sont souvent équipés de sièges éjectables, de blindages et d’autres équipements spécifiques au combat. Ces éléments peuvent être retirés ou modifiés. Par exemple, le siège éjectable peut être remplacé par un siège standard, et tout blindage supplémentaire peut être enlevé pour alléger l’avion et optimiser sa performance pour un vol civil.

Etape 4 : ajustements des performances

Bien que les avions de chasse soient conçus pour des performances extrêmes, en situation civile, certains de leurs capacités peuvent être limitées. Les paramètres du moteur peuvent être ajustés pour réduire la vitesse maximale ou la manœuvrabilité, afin de rendre l’avion plus adapté et sûr pour le vol civil.

Etape 5 : certification et conformité réglementaire

La transformation d’un avion de chasse en un appareil civil nécessite une certification par les autorités de l’aviation. Cela implique une série d’inspections, de tests en vol, et la validation de la conformité aux normes de sécurité aériennes civiles. La documentation détaillée de chaque modification est cruciale pour obtenir cette certification.

Applications pratiques et exemples

Un exemple notable de cette transformation est le passage du célèbre chasseur McDonnell Douglas F-4 Phantom II à des rôles non combattants. Après sa période de service actif, plusieurs de ces avions ont été convertis pour des utilisations telles que des drones cibles ou des avions d’essai civils, nécessitant une démilitarisation complète.

Démilitariser un avion de chasse est un défi technique et réglementaire, mais c’est également une démarche qui ouvre de nouvelles vies pour ces machines impressionnantes. Transformés, ces avions peuvent servir à des fins éducatives, de recherche, ou même de divertissement, permettant aux passionnés d’aviation de vivre l’expérience du vol en avion de chasse sans les éléments du combat. Ce processus illustre la remarquable polyvalence de l’ingénierie aéronautique et la capacité de l’humanité à réorienter la technologie de manière créative et pacifique.

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F-35 Lockheed Martin

Comparaison Détaillée du F-35 vs. Avions de Combat: Performance, Armements & Capacités

Découvrez une analyse approfondie du F-35 face aux Rafale, Typhoon, et Su-57: furtivité, armements, et rôle dans l’engagement militaire moderne.

L’avion de chasse F-35 Lightning II, développé par Lockheed Martin, est souvent présenté comme la quintessence de l’aviation militaire de cinquième génération, conçu pour surpasser et remplacer une multitude d’avions de combat des générations précédentes. Cet article vise à fournir une comparaison détaillée entre le F-35 et d’autres jets de combat populaires de sa catégorie, en examinant leur performance, conception, fonctionnalité, armements et capacités tactiques. Nous explorerons également le contexte historique du F-35 par rapport à d’autres appareils développés par le passé, ainsi qu’une comparaison de ses caractéristiques avec ses concurrents les plus proches à l’heure actuelle.

Contexte historique et développement

Le programme Joint Strike Fighter (JSF), qui a donné naissance au F-35, a été initié dans les années 90 avec l’ambition de produire un avion de combat polyvalent capable de répondre aux besoins de différentes branches des forces armées américaines (USAF, US Navy, USMC) et de leurs alliés. Le F-35 se décline en trois variantes principales : le F-35A (version conventionnelle), le F-35B (version à décollage court et atterrissage vertical) et le F-35C (version embarquée sur porte-avions). Cette polyvalence contrastait avec les avions de générations précédentes, conçus avec des objectifs plus spécialisés.

Performance et conception

Le F-35 est conçu autour de la furtivité, visant à minimiser sa signature radar et infrarouge pour échapper à la détection ennemie, une avancée majeure par rapport à des avions comme le F-16 Fighting Falcon ou le F/A-18 Hornet. Doté d’une avionique de pointe, d’un système de distribution d’informations en réseau (DAS) et d’un casque de pilotage avancé, le F-35 permet une meilleure conscience situationnelle que la plupart de ses prédécesseurs et concurrents. En termes de performance aérienne, le F-35 est capable de voler à Mach 1.6, avec une portée de combat qui varie selon la version, allant jusqu’à 2 220 km pour le F-35A. Il est considéré comme l’avion de chasse le plus puissant du monde.

F-35 Lockheed Martin

Fonctionnalité et armements

Le F-35 est équipé pour mener des missions air-air, air-sol et de reconnaissance, le dotant d’une grande flexibilité opérationnelle. Son armement comprend une combinaison de missiles air-air AIM-120 AMRAAM, de missiles air-sol comme le Joint Direct Attack Munition (JDAM) et de bombes à guidage laser. Il est également équipé d’un canon interne GAU-22/A, une caractéristique qui le distingue dans sa catégorie. Cette polyvalence en fait une plateforme capable d’exécuter une grande variété de missions de combat.

Concurrents et comparaisons

Les concurrents les plus proches du F-35 incluent le Dassault Rafale français, l’Eurofighter Typhoon européen, et le Su-57 russe. Le Rafale et le Typhoon, bien qu’étant des avions de quatrième génération plus, se distinguent par leur agilité exceptionnelle et leur capacité à emporter un large éventail d’armements. Cependant, ils ne peuvent rivaliser avec la furtivité et les systèmes intégrés du F-35. Le Su-57 russe, un jet de cinquième génération, est conçu pour être un concurrent direct du F-35 en termes de furtivité et de capacités, mais il reste entravé par des défis de production et d’intégration de systèmes.

Limitations et problèmes

Le programme F-35 a été critiqué pour ses coûts de développement et d’acquisition élevés, ainsi que pour divers problèmes techniques au fil des ans, y compris des questions relatives à la fiabilité de certains de ses systèmes logiciels et matériels. Ces problèmes ont conduit à des retards et à des dépassements de coûts, suscitant des débats sur sa viabilité économique et opérationnelle.

Rôle dans l’engagement militaire moderne

Malgré ses défis, le F-35 joue un rôle crucial dans la stratégie militaire des nations qui l’adoptent. Sa capacité à opérer dans des environnements fortement contestés, grâce à sa furtivité et à sa supériorité en matière de guerre électronique, le rend indispensable pour obtenir la supériorité aérienne dans les conflits modernes. Il est également un élément clé des opérations conjointes et combinées, capable de fonctionner comme un multiplicateur de force en réseau avec d’autres plateformes.

Bien que confronté à des concurrents de valeur et à des défis non négligeables, le F-35 Lightning II représente une évolution significative dans la conception et la fonctionnalité des avions de combat. Sa furtivité, ses capacités de capteurs avancées et sa polyvalence en font une plateforme clé dans la stratégie de défense de nombreux pays. Malgré les critiques, le F-35 s’impose comme un pilier central des forces aériennes du 21ème siècle, symbolisant une nouvelle ère de la guerre aérienne où la technologie de pointe et l’information dominent le champ de bataille.

Hornet

Les avions de l’US Navy

La marine américaine utilise une large gamme d’avions de chasse et d’aéronefs pour soutenir ses opérations dans le monde entier. L’un des principaux avions de combat utilisés par la marine américaine est le F/A-18 Hornet, un avion multirôle qui peut effectuer une variété de missions, y compris des combats aériens, des frappes air-sol et des missions de reconnaissance. Le F/A-18 Super Hornet, une version plus avancée du Hornet, est également utilisé par la marine et dispose d’un rayon d’action plus important, d’une avionique améliorée et d’une plus grande charge utile. Le F-35C Lightning II, un chasseur furtif conçu pour les opérations sur porte-avions, est en cours d’introduction pour remplacer les avions plus anciens tels que le F/A-18C Hornet. La marine exploite également divers autres aéronefs, notamment des avions de transport, des hélicoptères et des véhicules aériens sans pilote (UAV), qui jouent tous un rôle important dans le soutien des opérations navales dans le monde entier.

Les aéronefs de l’US Navy sont équipés d’une avionique, de systèmes d’armes et de capteurs avancés, ce qui leur permet d’opérer dans des environnements et des conditions très variés. Ils sont utilisés pour un large éventail de missions, notamment les opérations de combat, la reconnaissance, la recherche et le sauvetage, ainsi que le transport de personnel et de matériel. Les aéronefs de la marine sont également dotés de capacités de communication et de mise en réseau avancées, qui leur permettent de partager des informations essentielles avec d’autres aéronefs et des unités au sol. Les avions de chasse et les aéronefs de l’US Navy jouent un rôle essentiel dans le maintien de la sécurité mondiale et la projection de la puissance militaire dans le monde entier.

5 avions pour l’US Navy

L’US Navy a produit une grande variété d’avions de combat au fil des ans, les cinq derniers étant le F-35C Lightning II, l’E-2C Hawkeye, le T-6 Texan, le C-40B Clipper et le F/A-18C Hornet. Le F-35C est actuellement le favori de l’US Navy pour les rôles de combat, en plus du F-18E. Il s’agit d’un avion de combat furtif à long rayon d’action, conçu et construit explicitement pour la marine. Le Super Hornet est également plus récent que de nombreux avions de combat de l’armée de l’air, mais sa disponibilité est inférieure à celle des avions de l’armée de l’air.

F-35C Lightning II

Le F-35C Lightning II est un avion de combat de pointe conçu pour la marine américaine. Il s’agit de la variante embarquée du F-35 Joint Strike Fighter, une famille d’avions furtifs avancés développés par Lockheed Martin. Le F-35C est conçu pour être un avion polyvalent capable d’effectuer un large éventail de missions, notamment des missions de supériorité aérienne, de suppression de la défense aérienne et de frappe. L’avion est équipé d’une avionique avancée et d’une technologie furtive qui le rend difficile à détecter par les systèmes radar ennemis. Il est également doté de systèmes d’armes avancés, notamment des missiles air-air, des missiles air-sol et des bombes à guidage de précision.

F-35

Le F-35C est capable de voler à des vitesses supersoniques et a un rayon d’action de plus de 1 200 milles nautiques. Ses systèmes de radar et de capteurs avancés lui permettent de recueillir et de partager des informations essentielles avec d’autres aéronefs et unités au sol. Les capacités avancées du F-35C en font un atout essentiel pour la marine américaine et lui confèrent un avantage tactique significatif dans la guerre moderne. Il est appelé à jouer un rôle essentiel dans l’avenir de l’aviation navale et constituera un élément vital du dispositif stratégique mondial de l’armée américaine pendant de nombreuses années.

E-2C Hawkeye

L’E-2C Hawkeye est un avion de détection précoce aéroporté (AEW) basé sur un porte-avions, conçu et fabriqué par Northrop Grumman. Il est en service dans la marine américaine depuis les années 1960 et est encore utilisé aujourd’hui. L’avion est conçu pour assurer l’alerte précoce et le contrôle des forces navales, en détectant les avions et les missiles entrants à longue distance et en fournissant une connaissance de la situation à la flotte. L’E-2C est équipé de systèmes radar et de communication avancés, ce qui lui permet de suivre plusieurs cibles simultanément et de fournir des informations en temps réel aux commandants navals.

L’E-2C se distingue par son dôme radar rotatif monté sur le dessus du fuselage, qui assure une couverture à 360 degrés. Les ailes de l’avion peuvent être repliées pour être stockées sur les porte-avions, ce qui facilite son transport et son utilisation sur le pont exigu d’un porte-avions. L’E-2C est également équipé de moteurs puissants, ce qui lui permet de fonctionner dans des conditions météorologiques très variées et d’accomplir sa mission à longue distance. Ses capacités avancées en font un atout vital pour la marine américaine, car il fournit une connaissance critique de la situation et une alerte précoce pour protéger les forces navales contre les menaces potentielles.

T-6 Texan

Le T-6 Texan est un avion d’entraînement monomoteur biplace conçu et produit par la société North American Aviation. Il est en service depuis les années 1930 et a été utilisé par plusieurs forces aériennes dans le monde, dont l’United States Air Force et l’United States Navy. Le T-6 Texan est un avion polyvalent qui peut être utilisé pour diverses missions d’entraînement, notamment l’entraînement au vol primaire, l’entraînement à la voltige et l’entraînement au maniement des armes. Sa conception robuste et ses performances fiables en font un choix populaire pour l’entraînement au vol militaire depuis de nombreuses années.

T-6T-6

Le T-6 Texan se distingue par son gros moteur radial, son cockpit ouvert et ses lignes classiques. Sa conception offre une excellente visibilité à l’instructeur et à l’élève pilote, ce qui permet une communication et une formation efficaces. L’avion est équipé d’une avionique moderne, notamment d’un système de navigation GPS et d’un cockpit en verre avancé, ce qui en fait une plate-forme d’entraînement capable de répondre aux besoins des forces aériennes modernes. Sa fiabilité, sa durabilité et sa polyvalence en font un atout précieux pour la formation au pilotage militaire, et il devrait rester en service pendant de nombreuses années.

C-40B Clipper

Le C-40B Clipper est un avion de transport militaire basé sur le Boeing 737-700. Il est exploité par l’armée de l’air américaine et est utilisé pour le transport de personnel et de marchandises. L’avion a un rayon d’action de plus de 3 000 miles nautiques et peut transporter jusqu’à 121 passagers ou 8 palettes de fret. Il est équipé d’une avionique moderne, notamment d’un système de navigation GPS, et peut opérer dans toutes les conditions météorologiques. Le C-40B Clipper fournit un soutien essentiel en matière de transport à l’armée américaine, permettant un déploiement rapide du personnel et de l’équipement dans le monde entier.

Le C-40B Clipper est également utilisé pour le transport de fonctionnaires et de dignitaires, offrant un moyen de transport sûr et confortable. Il est équipé de systèmes de communication et de sécurité avancés, permettant une communication sûre et fiable pendant le vol. L’avion dispose d’une série de commodités, notamment une cuisine et des toilettes, ce qui rend les voyages longue distance plus confortables pour les passagers. Le C-40B Clipper est un atout essentiel pour l’armée de l’air américaine, car il offre une capacité de transport polyvalente et fiable qui soutient les opérations militaires et les missions diplomatiques dans le monde entier.

F/A-18C Hornet

Le F/A-18C Hornet est un avion de chasse basé sur un porte-avions, conçu et fabriqué par McDonnell Douglas, qui fait aujourd’hui partie de Boeing. Il est en service dans la marine américaine depuis les années 1980 et est encore utilisé aujourd’hui, bien qu’il soit progressivement abandonné au profit d’avions plus récents tels que le F/A-18 Super Hornet et le F-35C Lightning II. Le F/A-18C Hornet est un avion multirôle capable de mener des combats air-air et air-sol, ainsi que des missions de reconnaissance et de guerre électronique.

Hornet

Le F/A-18C Hornet est un avion polyvalent et fiable qui a fait ses preuves dans un large éventail de situations de combat. Il est équipé d’une avionique et de systèmes d’armes avancés, notamment de missiles air-air, de missiles air-sol et de bombes à guidage de précision. Il est doté d’ailes repliables et d’un empennage, ce qui lui permet d’opérer sur le pont exigu d’un porte-avions. Le F/A-18C Hornet a été utilisé dans de nombreux conflits, dont l’opération Tempête du désert, l’opération Liberté immuable et l’opération Liberté irakienne, et a été loué pour ses performances au combat.

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Pourquoi faire un bapteme en avion de chasse

où et comment prendre son envol dans un chasseur? Vous recherchez des sentiments assez forts pour être passionné d’aviation? Le combattant répondra très facilement à ces deux exigences pour vous aider à rester une minute de pure adrénaline complètement inoubliable! Voici comment vous pouvez effectuer un vol en avion de chasse en France dans l’avion le plus merveilleux dont les performances sont à couper le souffle. S’ils doivent donner ou peut-être s’amuser, le premier vol de l’avion de chasse reste gravé dans la mémoire de manière permanente. L’invention de votre voiture aérienne, du cockpit, l’audio déployé à l’allumage de vos moteurs, les toutes premières sensations procurées à l’achat-loin et bien d’autres. Ce sont tous des facteurs qui peuvent vous inciter, comme passionnés d’aéronautique, à faire voyager un avion par un chasseur. C’est à bord d’un Fouga CM-170 Magister que vous aurez à nouveau besoin d’une place assise à l’arrière, à la manière d’un co-aviateur. Construit à partir de l’Aerospatiale-Potez dans les années 1950, le Fouga Magister s’est concentré sur la formation d’aviateurs militaires. Au total, un peu plus de 1000 clones ont été fabriqués. Il est rapidement connu pour son empennage à papillons. C’est un avion à réaction qui dessert la Patrouille de France depuis 24 ans de 1956 à 1980. Ses caractéristiques ont déjà été largement recommandées par les pilotes de voltige et plusieurs patrouilles en ont fait leur produit préféré. Après avoir adoré le Fouga Magister venant de tous les points de vue, vous pouvez vous attendre à rester dans le cockpit de la position réservée au copilote, ce qui est certainement l’expression normale de celui qui alimente l’aviateur. Equipé d’une combinaison avant de rouler, vous serez déjà plongé dans cet univers. Vous finirez attaché avec le cockpit va se fermer. L’aviateur démarrera les 2 moteurs et enlèvera le Fouga Magister! Vous atteindrez rapidement un taux remarquable de 300 km / adrénaline et utiliserez votre système complet de haut en bas! Il peut exécuter de belles acrobaties si le conducteur est disposé à vous mettre à la vue! Mais je me suis vu à la place de Maverick survoler le paysage pendant des centaines d’heures. En bon fan de « Top Gun », c’est un peu kitsch, je le sais. Cette énergie qui pousse quiconque au fond (raison de moi la phrase), mais c’est tellement précis! Le partage continu avec tous les pilotes, adorable en outre, entendre chaque attente et chaque sensation (ce qui s’avère être vraiment essentiel, car chaque fonction comporte ses propres restrictions, j’en suis consciente, c’est pourquoi je visite- En haut) Le document de l’Albatros vers la mer , le coeur reste serré, la passion est immense, nous voyageons au-dessus de la magnifique campagne vue de précédemment. Les randonneurs du dimanche font d’énormes symptômes juste en bas, non loin de nous … Nous les renvoyons tous avec un battement d’ailes. C’est maladroit comme souvenir, mais j’aime bien considérer les avions qui passent et j’espère aussi qu’ils pourront me voir aussi! Nous voyageons sur les calanques, le panorama change, l’eau listée ci-dessous, magnifique! Nous avons maintenant le sentiment que les gens ont généralement terminé cela, nous ne faisons qu’union avec la compagnie aérienne. L’aviateur explique ensuite comment s’occuper de la prise en charge, nous montre une manœuvre, un converti restant avec un virage approprié et que j’acquiers ainsi un temps inoubliable, intense et chargé, je voyage! Puis il clarifie à mon avis la meilleure façon de faire « un tonneau », fonctionne (non sans être inquiet), on descend tout droit, là-bas, il se force les mains et les poignets dans le flux d’air et me jette un « tu découvres que c’est toi des disques durs! Ah oui, inexplicable étant une sensation, tout simplement incroyable! La souplesse d’expression assume tout ce qui signifie! Et après cela, 8 minutes s’affichent en observant des acrobaties naturelles (et je peux donc jurer que 8 minutes, c’est long !! !!), où j’ai encaissé 6G, solide la dame! Écrasé dans mon fauteuil éjectable, le protège-tête bien pressé autour de la tête, le bras gauche pèse plusieurs dizaines de kilos, le plus grand rêve est exact, je profite au maximum de chaque flambée épidémique. Le son dans le réacteur qui se lève à chaque fois que le G apparaît, la vue des mers que nous ressentons vraiment pour pouvoir être contacté, l’expérience est innommable, tout ce que je peux dire, c’est la pratiquer, c est grand! ! Puis, un retour tranquille pour récupérer de ses sensations, une obtention douce et la plus merveilleuse une demi-heure de toute ma vie cette conclusion … une demi-heure de pure adrénaline et de bonheur! Le pied initial sur terre est tel que le premier type qui a marché dans la lune … étrange! Sur une obsession: recommencez! Pour une très bonne semaine complète, j’avais la tête dans les nuages ​​(et je n’exagère pas), mes pensées étaient à 500 km / h et 6G! Quel a été le verdict final? Le verdict ultime est simple: dès que je peux, je recommence! Petit facteur à intégrer, un grand nombre grâce à tous ceux qui, sur place, accomplissent une tâche incroyable, qui consiste à rendre les rêves réalisables! Si vous deviez avoir à accomplir. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de ce vol en avion de chasse.

Le Tupolev Tu-144

L’avion est équipé d’une aile en double delta à fort angle de flèche pour une meilleure pénétration dans l’air à vitesse supersonique. Il ne disposait pas de volets ni d’aérofreins. Les gouvernes de profondeur et les ailerons sont confondus en une même commande de vol, des élevons. L’aile delta avait un faible allongement, ce qui créait une faible portance. À l’exception du prototype, les appareils sont équipés de plans canards rétractables, placés à l’arrière du cockpit, sur le haut du fuselage, disposant de volets de courbure. Ces plans, appelés « moustaches », sont utiles au contrôle du tangage à basse vitesse, l’aile delta ne fournissant pas une portance suffisante. L’aile delta étant peu portante à basse vitesse, l’avion devait adopter une position très cabrée, ce qui réduisait considérablement la visibilité à basse vitesse. Pour remédier à ce problème, le Tu-144, tout comme le Concorde, disposait d’un nez basculant. Le Tu-144 dispose d’un train d’atterrissage dit tricycle. En 1962, le F.27 est suivi par l’avion court-courrier à réaction F.28 Fellowship. Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’industrie aéronautique britannique compte 35 entreprises de type familial, soit 27 avionneurs et 8 motoristes. En 1959, Hawker Siddeley rachète de Havilland Aircraft et Blackburn Aircraft sous la pression du gouvernement britannique. En 1960, British Aircraft Corporation nait du regroupement de Vickers-Armstrong, English Electric, Hunting Aircraft et Bristol Aeroplane. En 1977, quatre entreprises nationalisées et bénéficiaires sont regroupées : British Aircraft Corporation, Hawker Siddeley Aviation, Hawker Siddeley Dynamics et Scottish Aviation (en). La nouvelle société, British Aerospace, est le leader européen de la construction aéronautique, avec 67 000 salariés et un chiffre d’affaires de GBP 800 millions. L’entreprise est structurée en deux divisions distinctes, Aircraft Group et Dynamics Group. British Aerospace rejoint le GIE Airbus en 1979, dix ans après le retrait du gouvernement britanniques du projet. Sud-Aviation et le motoriste SNECMA constituent la contribution française au développement de l’Airbus A300 dans les années 1960. Sud-Aviation est alors maître d’œuvre de la fabrication de la cellule de l’avion.

Cette photo « dédicacée » a été prise avant le départ de La Guardia pour Paris. Une autre photographie existe, avec les mêmes en compagnie de pilotes de Lockheed. L’ordonnance du 26 juin 1945 nationalise l’ancienne Société Anonyme Air France. De 1946 au début de 1948, Air France recevra quatre Constellation 049 et six Constellation 749 puis d’autres arrivèrent ce qui fit vingt-trois Constellation en 1952. Vingt huit L.049, L.749 et L.749A furent exploités. Le Constellation va dorénavant réduire à une seule — dans la plupart des cas — le nombre d’escales entre Paris et New-York et permettre fréquemment la traversée directe sans escale dans le sens retour. 28 avril 1948 – Parti d’Orly à bord d’un Constellation d’Air France, Roger Loubry rejoint La Guardia en 16 h 23 mn. Lockheed indique les différentes configurations par des nombres comme L.749-79-31. Les deux premiers chiffres après le numéro de modèle (L.749) donnent le type de moteur et les deux derniers chiffres indiquent l’aménagement intérieur. Ainsi, un L.749-79-31 est équipé de moteurs 749C18BD1 et comprend 42 sièges (Passagers de jour) ou 22 couchettes (passagers de nuit) et sept membres d’équipage.

Comme le montre le tableau 1, un total de 25 tests en vol ont servi à déterminer le modèle (en rouge) et 92 tests en vol à le valider (en bleu). Le modèle utilisé dans cette étude est inspiré de la méthode de modélisation par composants (CLM). Cette approche consiste à déterminer un modèle pour chaque composant du moteur. Toutefois, le simulateur ne fournit pas assez d’information sur les différentes valeurs de température et de pression pour ces composants. Deux approches différentes ont été utilisées : la « boîte noire » et la « boîte grise ». Une approche « boîte grise » consiste à déterminer un modèle à l’aide de la combinaison d’un modèle mathématique et d’un algorithme d’estimation. L’approche « boîte noire » n’utilise qu’un algorithme d’estimation. Le modèle du composant ventilateur-compresseur-brûleur est de type « boîte noire », combinant la méthode des moindres carrés et l’algorithme d’estimation de Levenberg-Marquardt. Depuis le début, les secours n’auraient eu, selon le Sdis des Bouches-du-Rhône, qu’une vingtaine d’interventions en raison du vent. Dans la Montagnette, du côté de Boulbon des arbres se sont couchés ; d’autres sont tombés à Noves. Il serait, selon un dicton provençal, un des trois fléaux de la Provence avec le Parlement, et la Durance (source Galtier). Il est appelé Mistral car il serait le maître vent, celui qui jouit en tout cas d’une force prodigieuse. Un ciel rouge au coucher du soleil : Mistral viendrait le lendemain. Il aurait un bail d’un, trois, six ou neuf jours. Pour bien dix jours encore, il risque en tout cas de souffler la vedette aux autres sujets du coin ! La météo du 13 a recensé certains records de vitesse sur Facebook. Ainsi une rafale record a été relevée dans la nuit de samedi à dimanche à plus de 159 km/h à Port-Saint-Louis-du-Rhône. Selon Paul Marquis cela serait probablement dû à une rafale descendante du Jet Stream qui s’est incliné au Nord-Ouest durant l’épisode. Également relevé depuis début janvier, 118 km/h à Istres, 111 km/h à Martigues, 110 km/h à Arles, 105 km/h à Salon-de-Provence, 80 km/h à Marignane.

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